Ce mois-ci, Trivec Troopers a décidé de vous présenter Carin, notre directrice des ressources humaines qui a rejoint l’entreprise en mars dernier. Découvrez quelles étaient ses attentes avant de rejoindre Trivec, comment se sont déroulés ses premiers mois en pleine crise pandémique, quelles personnes l’inspirent et quels sont les trois mots que ses enfants choisiraient pour la décrire.
Faisons connaissance avec Carin Ericsson.
Nom : Carin Ericsson
Titre officiel : Chief Human Resource Officer (CHRO)
Citation préférée :
« Ne jugez pas un livre à sa couverture. »
Cela signifie simplement que nous devons éviter de tirer des conclusions hâtives et de nous juger les uns les autres.
J’aime le changement et j’ai occupé diverses fonctions dans de nombreux secteurs et domaines d’activités différents. J’ai beaucoup travaillé dans le commerce de détail, des produits cosmétiques au matériel informatique, mais aussi dans le marketing et les ventes. J’ai également endossé des postes de direction.
En outre, j’ai travaillé dans des entreprises qui avaient des préoccupations différentes en matière de travail. J’aime démarrer des projets, mettre au point de nouvelles structures opérationnelles et instaurer une culture d’entreprise. Je me sens bien quand je travaille au développement des entreprises et des individus.
Tout d’abord, les employés de Trivec que j’ai rencontrés lors du processus de recrutement m’ont fait forte impression. Ensuite, le facteur décisif pour moi a été de pouvoir jeter les bases de la politique RH dans son intégralité et de partir d’une feuille blanche. En résumé, ce travail amusant était un vrai défi, mais l’idée m’a tout de suite emballée.
Je veux contribuer à faire de Trivec un lieu de travail attrayant qui offre à ses collaborateurs de réelles possibilités d’évoluer sur le plan professionnel. Je veux participer à la croissance et aux réalisations de Trivec. Je veux développer un environnement de travail systématisé qui constitue une solide base commune pour tous les employés. Du reste, je pensais que ce serait ma première mission. Mais la pandémie en a décidé autrement.
J’ai très vite compris que la mise en place d’une culture d’entreprise acceptée et respectée par tous les pays allait peut-être relever de la gageure. En effet, les différences d’un pays à l’autre sont à la fois culturelles et professionnelles. Cependant, je pense que ces particularités font partie des opportunités qui permettent de créer une culture d’entreprise solide.
J’espérais disposer de l’espace requis pour pouvoir développer une culture basée sur des valeurs. Je m’attendais aussi à un environnement de travail inclusif où tous les employés sont valorisés selon les mêmes principes.
J’attends beaucoup des progrès liés à l’établissement des bases de la politique RH chez Trivec.
Mes premiers mois au sein de Trivec ont été assez violents, car la pandémie de COVID-19 a éclaté durant ma première semaine de travail dans l’entreprise. Tout a changé du jour au lendemain, et nous avons dû adapter nos activités en fonction de nouvelles conditions.
J’ai été contrainte de mettre de côté le travail stratégique que j’avais prévu. Au lieu de cela, j’ai dû consacrer toute mon énergie à soutenir au mieux l’organisation, ses dirigeants et ses employés lors de l’introduction et de la mise en œuvre des mesures requises, compte tenu des degrés divers de chômage dans nos différentes régions. J’ai passé beaucoup de temps à lire les programmes d’aide gouvernementale des différents pays pour contribuer à informer les collaborateurs et à gérer au mieux les processus de chômage temporaire.
Même si mes premiers mois chez Trivec ont été totalement différents de ce que j’attendais, j’aime vraiment faire partie de l’entreprise. Tous mes collègues sont si gentils et serviables que je me suis sentie très bien accueillie !
Comme je l’ai dit, je suis très enthousiaste à l’idée de contribuer à la mise en place de la politique RH au sein de Trivec. De plus, le secteur des technologies de l’information est nouveau pour moi. Or, j’ai toujours aimé découvrir une nouvelle branche d’activités. J’ai hâte d’en apprendre davantage à propos de l’offre et des produits de Trivec.
Voilà une question bien difficile. Pour pouvoir y répondre, j’ai dû demander l’avis de mes enfants... Ils m’ont dit : amusante, audacieuse et généreuse.
J’aime cuisiner pour mes amis et ma famille, me rendre à des concerts et aller au théâtre, nager, me baigner en hiver (quand le lac est gelé) et passer du temps dans l’archipel de Stockholm.
J’ai beaucoup d’admiration pour Karin Lindahl, même si elle ne travaille pas dans les RH. Elle est PDG et propriétaire d’Indiska. J’admire son approche de l’égalité et sa capacité à écouter les collaborateurs qui rencontrent les clients au quotidien. Elle est très dynamique et fait preuve d’une grande empathie et de beaucoup de courage. Selon moi, l’empathie et la capacité à écouter sont primordiales quand on travaille avec d’autres personnes.
[Fondée en 1901, Indiska est une société suédoise consacrée à l’art de vie qui propose des vêtements, des accessoires et des articles de décoration avec une touche unique et des influences du monde entier.]
Carine, merci de m’avoir accordé un peu de votre précieux temps durant cette pandémie. Nous sommes vraiment ravis de pouvoir vous compter dans notre équipe et avons hâte de pouvoir admirer votre excellent travail.